Une séance de micropigmentation peut durer entre 1 et 4 heures selon la taille de la zone à traiter et la densité souhaitée. En général, le traitement complet se fait en 3 à 4 séances espacées d’environ 15 jours pour permettre une bonne cicatrisation et une stabilisation du pigment entre chaque étape. La première séance pose la base du travail avec un pigment léger, la deuxième augmente l’intensité, et la troisième (et éventuellement la quatrième) permettent de densifier et d’harmoniser le résultat final.
Non, la micropigmentation est très peu douloureuse. Le pigment est implanté dans la couche superficielle du derme, là où il y a relativement peu de terminaisons nerveuses. La plupart des clients ressentent tout au plus une légère gêne comparable à un picotement. Sur une échelle de douleur de 1 à 10, la moyenne se situe autour de 2/10, selon la sensibilité de chacun.
La ligne frontale est toujours définie selon votre visage et la forme naturelle créée par les muscles du front. L’objectif est de rester dans quelque chose de 100% naturel, sans effet artificiel ni "casque". Chaque tracé est personnalisé en fonction de vos proportions pour un rendu harmonieux et réaliste.
Nous choisissons la ligne ensemble, tranquillement, lors de la consultation ou le jour du rendez-vous. Vous pouvez aussi apporter des photos de votre ancienne ligne frontale si vous le souhaitez — elles peuvent aider à retrouver votre style d’origine.
Oui, il est nécessaire de réaliser trois sessions successives, chacune espacée d’environ deux semaines pour une cicatrisation optimale. À la première session, une série de points est tatouée pour dessiner la base. Lors de la deuxième, on vient remplir les zones manquantes et optimiser la densité. À la troisième, on harmonise l’ensemble pour un résultat parfaitement naturel.
Le fait de travailler en plusieurs étapes, sans trop charger dès le début, permet aux points de bien s’encapsuler sous la peau, sans se mélanger les uns aux autres. Le respect des temps de cicatrisation garantit une pigmentation nette et durable. Selon le résultat souhaité, une quatrième session de retouche peut parfois être proposée, ce qui permet d’ajouter sans risque de surcharger — car il n’est pas possible d’enlever du pigment si le rendu est trop dense. Plus on avance doucement, meilleur sera le résultat final.
Non, les pigments utilisés en micropigmentation ne sont pas dangereux pour la santé lorsqu’ils respectent les normes européennes et suisses en vigueur. Depuis 2022, l’Union européenne a interdit de nombreuses substances chimiques autrefois présentes dans les encres de tatouage et de maquillage permanent (comme le mercure, le nickel ou certains colorants rouges et bleus), afin d’éliminer tout risque cancérigène ou allergène.
Les pigments autorisés aujourd’hui sont biocompatibles, testés dermatologiquement et formulés pour rester stables dans le derme sans interagir négativement avec l’organisme. En Suisse, les autorités de surveillance sanitaires exigent que les produits utilisés soient conformes aux prescriptions légales et exempts de toute substance toxique ou interdite.
Chez J.M.Micropigmentation, seules des gammes certifiées et conformes aux nouvelles réglementations européennes sont utilisées. Cela garantit une application sans danger, à condition que les soins d’hygiène et de cicatrisation soient scrupuleusement respectés. De plus, nos encres sont vegan, cruelty-free, sans substances animales, et respectent des normes éthiques élevées, ce qui assure un choix sain et responsable.
Oui, j’ai suivi une formation intensive en micropigmentation capillaire à Bruxelles avec Hugues Pastoret, un pionnier mondialement reconnu de la technique. Son académie, Hair Tattoo by Hugues, est une référence internationale en la matière. Depuis 2018, je pratique la micropigmentation capillaire au quotidien, ce qui m’a permis de parfaire mon savoir-faire et d’accompagner de nombreux clients avec des résultats naturels et durables.
Oui, la micropigmentation capillaire peut s’adapter à tous les types de peaux et de carnation. Cependant, cela dépend du type de chute de cheveux : lorsqu’il y a trop de différences de longueur sur une zone en densification, le résultat peut être moins harmonieux et ne révélera pas tout son potentiel. Un diagnostic précis est réalisé lors de la consultation pour s’assurer que la micropigmentation est la solution la plus adaptée à votre cas.
La teinte du pigment est choisie en fonction de votre photo et de votre type de peau, selon la charte de Fitzpatrick. Je prends également en compte la couleur de vos cheveux pour assurer un rendu naturel et harmonieux. Les pigments vont de 1 à 10, 1 étant le plus clair (type nordique) et 10 le plus foncé (type africain).
Lors de la première session, on commence toujours sur une base assez claire et légère, puis on fonce progressivement au fil des sessions cicatrisées. Cette progression permet d’arriver à un résultat qui s’harmonise parfaitement avec la couleur naturelle de vos cheveux, notamment dans votre couronne, pour un effet final très naturel.
Oui, la micropigmentation capillaire peut être une excellente solution pour les cheveux clairsemés. Cependant, l’efficacité dépend du degré et du type de perte de cheveux, ainsi que de l’esthétique souhaitée. Pour un effet rasé, il n’y a aucun souci, la technique s’adapte parfaitement et permet de créer une illusion de densité naturelle. Pour des densifications sur cheveux plus longs ou très irréguliers, un diagnostic personnalisé est nécessaire afin d’assurer un rendu harmonieux. Chaque cas est unique et mérite une évaluation précise en consultation.
La micropigmentation capillaire dure généralement de 2 à 4 ans, selon votre type de peau, votre système immunitaire et la qualité des soins que vous apportez après la séance. Avec le temps, la pigmentation diminuera naturellement en intensité. Il est possible de faire une retouche quand vous le souhaitez pour raviver la couleur.
Le soin apporté à la micropigmentation contribue aussi à maintenir un bel aspect et peut indirectement améliorer la santé du cuir chevelu, favorisant ainsi un environnement propice à la repousse naturelle.
Oui, la micropigmentation n’étant pas une procédure chirurgicale, elle génère généralement peu d'inconfort. Les rougeurs, le cas échéant, disparaissent généralement en 1 à 2 jours. La cicatrisation complète, elle, dure environ 7 jours. Pendant cette période, il est normal d'observer un léger gonflement ou des petites irritations, mais celles-ci s’atténuent rapidement avec le temps. Un soin adapté, comme l’application d’une crème cicatrisante, peut faciliter la récupération et améliorer le confort pendant cette phase.
La micropigmentation capillaire est une technique non chirurgicale qui consiste à injecter des pigments dans le cuir chevelu pour créer l’illusion d’un crâne rasé ou d’une densité visuelle accrue. Ce procédé ne permet pas la repousse de vrais cheveux, mais offre un résultat immédiat, stable sur 2 à 4 ans, avec un entretien possible par retouches. Elle est peu douloureuse, rapide, accessible financièrement, et ne nécessite pas de temps de récupération. La densité visuelle que l’on peut obtenir est illimitée, car on contrôle la quantité de pigments injectés selon les besoins esthétiques.
La greffe de cheveux, quant à elle, est une intervention chirurgicale qui prélève des follicules pileux d’une zone donneuse pour les implanter dans les zones dégarnies. Elle vise à produire une repousse naturelle et permanente de vrais cheveux. Cette méthode est plus coûteuse, plus invasive, et demande un temps de récupération postopératoire. Son résultat, bien que durable, dépend du nombre de follicules disponibles et ne permet pas toujours d’obtenir la densité souhaitée sur certaines zones.
En résumé, la micropigmentation offre une solution esthétique immédiate, modulable et sans limite de densité, tandis que la greffe propose une solution biologique durable avec de vrais cheveux, mais avec des contraintes plus importantes en termes de coût, douleur et résultat progressif.
Oui, la micropigmentation capillaire peut être réalisée sur une zone ayant subi une greffe, à condition que la cicatrisation soit complète et stable. Il est généralement conseillé d’attendre entre 1 an et 1 an et demi après la greffe avant de procéder à la micropigmentation. Cela permet au cuir chevelu de bien cicatriser et à la greffe de s’implanter durablement.
Cette technique convient également pour masquer les cicatrices laissées par la greffe, en intégrant les pigments de façon homogène pour un résultat naturel et harmonieux. Elle n’altère en rien la greffe existante mais vient en complément pour améliorer l’aspect esthétique global.
Oui, il est tout à fait possible de recouvrir une cicatrice de greffe par micropigmentation, à condition que la cicatrice s’y prête, car cela dépend de chaque cas. Les cicatrices issues de la technique FUE (extraction d’unités folliculaires) sont généralement plus faciles à recouvrir que celles de la méthode FUT (transplantation en bandelette), qui sont souvent plus larges et nécessitent plusieurs séances.
Un diagnostic personnalisé est essentiel pour évaluer la qualité du tissu cicatriciel et définir le protocole de traitement adapté.
Il est important de respecter un délai minimum de 15 jours entre chaque séance de micropigmentation pour permettre une cicatrisation optimale du cuir chevelu. Ce temps de récupération est essentiel pour que la peau se régénère bien et que les pigments se fixent correctement. Ne pas respecter cet intervalle peut entraîner un effet "casque", où le pigment paraît trop dense et artificiel.
Pour les zones cicatricielles, notamment celles résultant de greffes, la cicatrisation est généralement plus longue. Il faut souvent attendre plus longtemps entre les séances afin d’assurer une meilleure intégration des pigments et un rendu naturel. Cet espacement garantit un résultat progressif, harmonieux et durable.
La micropigmentation capillaire est réalisée dans le derme superficiel, la couche la plus externe du derme. Cette profondeur d’implantation permet au pigment de rester stable, tout en s’estompant doucement avec le temps. C’est cette technique qui garantit un rendu léger, naturel et modulable, avec la possibilité de faire des retouches au fil des années pour maintenir la densité désirée.
En revanche, un tatouage traditionnel pénètre beaucoup plus profondément dans la peau, dans le derme profond. Le pigment s’y diffuse alors de manière plus large et crée souvent une plaque plus dense et foncée, peu adaptée à l’effet discret que l’on recherche en micropigmentation capillaire.
En tatouage traditionnel le pigment ne s’estompe quasiment pas, ce qui rend le tatouage permanent, et le rendu est beaucoup moins naturel.
Ainsi, la micropigmentation capillaire n’est pas un tatouage traditionnel, mais une procédure spécifique visant à reproduire délicatement l’apparence des follicules pileux en surface, pour un effet naturel, léger et évolutif dans le temps
Si vous ne trouvez pas la réponse à votre question dans cette FAQ, n’hésitez pas à me contacter directement. Vous pouvez me joindre par téléphone au 076 411 02 93 ou par email à jm.micropigmentation@gmail.com. Je serai heureux de vous aider et de vous fournir toutes les informations nécessaires pour votre projet de micropigmentation capillaire.
Oui, la micropigmentation s’adapte très bien aux cheveux gris. Le pigment est choisi précisément pour s’harmoniser avec la couleur naturelle de votre chevelure, y compris les nuances grises ou blanches. Avec le temps, le pigment s’estompe légèrement, ce qui évite un effet trop marqué et permet au rendu de rester naturel.
Il est possible d’ajuster la densité et la teinte lors des séances de retouche pour suivre l’évolution de vos cheveux gris. Cette flexibilité garantit un look cohérent et harmonieux sur le long terme, sans créer de contraste brutal.
La micropigmentation ne disparaît jamais totalement. Avec le temps, le pigment s’estompe naturellement, mais il peut subsister un léger halo visible, plus ou moins marqué selon chaque individu et ses habitudes de vie (exposition au soleil, soins). Ce phénomène est normal et fait partie de l’évolution naturelle du traitement.
Personnellement, je dispose d’un recul allant jusqu’à 8 ans sur certains clients, et les résultats restent très satisfaisants. Les pigments conservent une bonne tenue, et les retouches effectuées au fil des années permettent d’ajuster l’intensité et la densité pour conserver un rendu naturel et harmonieux.
Sans retouche, le pigment peut continuer à s’atténuer doucement, et dans certains cas, ce léger halo finit par presque disparaître.
Ainsi, la micropigmentation est une solution durable qui évolue avec vous, offrant une apparence soignée même sur de longues périodes
La tricopigmentation est en fait l’ancêtre de la micropigmentation capillaire moderne. Cette technique, développée il y a environ 20 ans en Italie par Ennio Orsini et Toni Belfatto, est une forme de dermopigmentation qui utilise des pigments bio-résorbables et des stylos spécialement adaptés au cuir chevelu. Elle consiste à déposer des micro-points de pigment dans le derme très superficiel, avec une technique certes plus grossière que la micropigmentation SMP actuelle. Le pigment utilisé en tricopigmentation s’estompe plus rapidement (en quelques mois à deux ans), ce qui la rend semi-permanente et demande des retouches plus fréquentes.
La micropigmentation capillaire (SMP), née un peu plus tard, notamment au Royaume-Uni avec Ian Watson, est une évolution plus précise et plus durable de la tricopigmentation. Elle utilise des pigments plus stables, des machines et aiguilles plus sophistiquées, permettant un dépôt plus fin et mieux contrôlé des pigments dans le derme. Le résultat est plus dense, naturel, et durable (2 à 5 ans voire plus), avec la possibilité d’espacer les retouches.
En résumé, la tricopigmentation est la version plus ancienne, semi-permanente, avec une technique plus grossière et un pigment qui disparait plus rapidement. La micropigmentation capillaire moderne (SMP) est plus précise, plus durable, et offre un rendu esthétique plus optimisé, adapté aux exigences actuelles.
Afin d’assurer le meilleur résultat possible et maximiser la tenue du pigment, merci de suivre ces recommandations avant votre séance :
Pas d’alcool : Évitez d’en consommer la veille et le soir suivant l’intervention.
Caféine : Limitez la consommation à 1 ou 2 cafés maximum dans la journée.
Nutrition : Prévoyez de quoi manger afin d’éviter tout coup de fatigue pendant la séance.
Rasage : Venez avec les cheveux rasés à 0,5 mm (max. 1 mm).
Peeling du cuir chevelu : Faites un peeling 5 jours avant puis un la veille de la séance. Produits disponibles en pharmacie ou grandes surfaces.
Hydratation : Gardez votre cuir chevelu bien hydraté avec une crème adaptée.
Repos : Assurez-vous d’avoir bien dormi la veille du rendez-vous.
Ces précautions sont essentielles pour optimiser la cicatrisation et garantir un résultat durable.
À la fin de chaque session, un kit de soins avec crème, lingettes et instructions vous sera remis pour accompagner votre routine de soins.
Hygiène et soins quotidiens
Nettoyez la zone traitée avec des lingettes aseptisées 1 fois par jour pendant 5 jours. Ne frottez pas, tamponnez doucement.
Ne laissez pas la zone humide, épongez avec un sopalin avant d’appliquer la crème fournie 1 à 2 fois par jour. Laissez la peau respirer.
Après 6 jours, vous pouvez laver le cuir chevelu avec un shampoing hypoallergénique.
N’utilisez pas d’autres crèmes cicatrisantes que celles fournies.
Repos et précautions
Évitez le contact direct avec le soleil ou les cabines de bronzage pendant la cicatrisation.
Évitez les douches trop longues.
Ne prenez pas de bains, ne nagez pas en piscine, et évitez le sport intense causant une sudation excessive pendant 7 jours.
Ne consommez pas d’alcool en grande quantité.
Ne grattez ni ne frottez la zone traitée.
Cicatrisation
La cicatrisation superficielle dure environ 7 jours, avec 7 jours supplémentaires pour une cicatrisation complète.
Les rougeurs disparaissent généralement en 24 à 48 heures.
Un rejet partiel du pigment est normal : on estime une perte de 50% à la première session, 30% à la deuxième, et 10% à la troisième.
Entretien et suivi
Après 15 jours, appliquez régulièrement une crème hydratante disponible en pharmacie pour entretenir le cuir chevelu.
Porter une casquette ou couvre-chef est autorisé pendant la cicatrisation, à condition qu’elle soit propre.
Protégez votre oreiller les deux premiers jours, le pigment peut "dégorger".
Rasage et coiffure
Évitez de vous raser la tête pendant 6 à 7 jours après la séance.
Passé ce délai, utilisez la tondeuse avec douceur, la zone restant sensible.
À chaque fin de session, je remets un kit de soins complet avec la crème, des lingettes et une carte explicative pour vous accompagner efficacement dans votre routine de cicatrisation.
Oui, mon salon est parfaitement conforme aux normes suisses en vigueur. Il est certifié selon les standards les plus stricts en matière d’hygiène et de sécurité, notamment ceux recommandés par l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et les autorités cantonales compétentes.
Tous les instruments utilisés sont stériles et à usage unique, conformément à la réglementation sur les pratiques dermopigmentologiques. Le matériel est préparé avec rigueur, les locaux sont désinfectés régulièrement, et chaque étape suit un protocole strict pour éviter toute contamination ou infection.
Le salon est situé au cœur de Sion, dans un endroit discret garantissant votre intimité. Il est accessible en seulement 5 minutes à pied depuis la gare de Sion, ce qui facilite son accès en transports publics.
Pour ceux qui viennent en voiture, je recommande le Parking de la Planta, à proximité immédiate du salon, offrant un stationnement sécurisé et pratique. Voici le lien pour plus d’informations et localisation : Parking de la Planta - Sion
Le salon offre un cadre chaleureux et confidentiel afin que vous puissiez vivre votre expérience de micropigmentation dans les meilleures conditions.


